dimanche 29 mars 2009

Le Macrocosme



Sous le terme de ‘Macrocosme’ je recouvre sous ce générique l’ensemble des hyper mégapoles atteintes par les pollutions multiples engendrées par les agissements irresponsables des humains. En 1970 la région parisienne répondait déjà à ce critère. Depuis lors, d’autres métropoles de l’hexagone sont venues rejoindre l’Hadès dans l’indifférence générale. Marseille jadis épargnée par le mistral n’échappe plus aujourd’hui à cette catastrophe.
Le Macrocosme, dans les constellations D’Ilan, correspond à cette deuxième époque marquée par mon arrivée en région parisienne dès le mois de Février 1971. Elle se caractérisa par :
Le supplice de Sisyphe qui démontre une fois de plus l’absurdité de cette lancinante répétition dont le processus a été initiée par ‘Louis Le Magnifique’. Ainsi ‘L’Homme oublié’ alias ‘Copernic’ nous entraine à Alessandria Platz d’où chaque matin il partait pour se rendre à la rue saint Roch lieu de travail dans son premier emploi. Il évoque aussi cette dernière espérance en allant chercher les siens à la gare de Lyon en provenance de la cité phocéenne quelques semaines plus tard après son arrivée. En réalité le terrible isolement dans le Hadès parisien mis en relief la monotonie de ce slogan : ‘Métro, Boulot…..’. Copernic découvrit également avec consternation les pratiques professionnelles cupides des dirigeants engendrant par la même les racines profondes de l’inflation. Mais le système entier s’en accommodait permettant à un plus grand nombre d’en profiter et de s’enrichir sans créer réellement de nouvelles richesses. Ce fut aussi l’épisode de la tour infernale qui fit trembler les citadins d’Argenteuil. Enfin l’expérience de la rue de Gramont s’achevant par l’anéantissement dans Apocalypse Now.
Le retour en enfer clôtura cette dramatique période du macrocosme menant Copernic de Grigny dans l’Essonne aux weeks end de Draveil. Cette période crépusculaire fut pourtant marquée par le grand espoir du ‘Centurion d’El Djem’. Ce fut également l’époque des voyages qui menèrent Copernic et sa deuxième femme de Rimini à Matmata aux portes du désert. Sousse la douce, marqua le dernier périple avant qu’il ne fut jeté dans ‘la Fosse aux Serpents’ par celle qui lui avait donné le fils qu’il avait tant souhaité. Ce chaos sans précédent s’acheva par la lente agonie d’Ajaccio jusqu’à l’Allée des Hautes Fleurs de Noisy Mont d’Est .




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